Il est des infos, comme celle-là, qui te feront briller comme pas deux entre la poire et le fromage ! Si tu veux te la jouer troisième frère Bogdanov, genre le zig qui s’y connaît à peine moins que Stephen Hawking en matière de lifestyle, le vrai, pas celui que te survendent des influenceurs qui ont super inf’, c’est exactement la came qu’il te faut !
L’air de rien, tu apprendrais à ton assistance, médusée devant tant de science, d’avant-garde, de docte “veille technologique”, que le groupe Hyundai Motor Company vient d’annoncer la signature d’un partenariat avec la startup américaine IonQ, spécialisée dans les ordinateurs quantiques.
Objectif : utiliser le “trapped ion quantum computer” du nouveau partenaire pour améliorer l’efficience des batteries qu’embarquent les modèles composant la gamme électrifiée de la marque éponyme et des autres marques du groupe coréen.
Récemment, les groupes allemands Volkswagen et BMW scellaient des partenariats similaires avec d’autres spécialistes du game de l’informatique quantique.
“La simulation de la chimie quantique devrait améliorer considérablement la qualité des batteries au lithium de nouvelle génération avec le perfectionnement des cycles de charge et de décharge des appareils, ainsi que leur durabilité, leur capacité et leur sécurité”, a indiqué le top management du constructeur.
Pour en revenir à votre numéro de tchatche, il faut juste que vous vous arrangiez pour être un tant soit peu crédible et pour qu’on ne vous demande pas ce qu’est un “trapped ion quantum computer”. Les seules issues qui se présentent à vous si on vous coince dans les cordes, c’est de porter le dos de votre main à votre front et de simuler un malaise, ou bien alors de faire comme nous : vous contenter de servir à votre auditoire un sobre “C’est trop compliqué !”.
Nan ! Nous dites pas que vous comptiez sur nous pour vous expliquer le fonctionnement d’un ordi quantique… Vous nous avez pris pour Science & Vie ou bien ?