Pendant que le marché du neuf se cassait la gueule (sans trop de dégâts, fort heureusement), enregistrant en 2022 un repli des ventes de 8 % par rapport à l’année d’avant, celui de l’occasion a apporté de l’eau au moulin de l’assertion selon laquelle “le malheur des uns…”, affichant un taux d’évolution de 2 %, avec 677.222 mutations, contre 662.031 transactions un an plus tôt. Une croissance alimentée par la fonte du pouvoir d’achat et par son “affluent”, l’inflation, notamment celle des tarifs des véhicules neufs.